Titre : | Confessions d'une accro du shopping |
Auteurs : | Sophie Kinsella, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Pocket, 2006 |
ISBN/ISSN : | 978-2-266-16226-5 |
Format : | 366 p. / 18 cm |
Résumé : | Votre job vous ennuie à mourir ? Vos amours laissent à désirer ? Rien de tel quun peu de shopping pour se remonter le moral Cest en tout cas la devise de Becky Bloomwood, une jolie Londonienne de vingt-cinq ans. Armée de ses cartes de crédit, la vie lui semble tout simplement magique ! Chaussures, accessoires, maquillage ou fringues sublimes rien ne peut contenir sa fièvre acheteuse, pas même son effrayant découvert. Un comble, pour une journaliste financière qui conseille ses lecteurs en matière de budget ! Jusquau jour où, décidée à séduire Luke Brandon, un jeune et brillant businessman, Becky sefforce de samender, un peu aidée, il est vrai, par son banquier, qui vient de bloquer ses comptes Mais pourra-t-elle résister longtemps au vertige de lachat et à lappel vibrant des soldes ? |
Nature du document : | fiction |
Genre : | roman |
Thème de fiction : | amour |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Support | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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R KIN | fiction | livre Fiction | CDI | 001652 | Disponible |
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Visible par tous
J'ai simplement dévoré ce roman. Je vais argumenter plus en détails :
-Tout d'abord j'ai apprécié l'héroïne de ce livre, Rebecca Bloomwood. Ce personnage est unique, attachant avec une personnalité hors du commun. Rebecca a aussi un optimisme débordant : quelles que soient ses conditions financières, elle garde quand même le sourire en voyant le bon côté des choses. « Il suffit de ne plus y penser » se dit-elle.
-Je me suis également bien amusée tout au long de ma lecture. Rebecca se trouve dans des situations très cocasses qui m'ont fait rire. Son caractère aussi me faisait afficher un sourire au fil de la lecture.
-Par contre l'héroïne m'avait parfois un peu agacée par son comportement car j'avais l'impression qu'elle ne faisait pas toujours preuve de maturité face à certaines situations.
Rebecca devenait un peu une petite fille à certains moments du roman, elle n'était pas responsable et dépensait un peu à tout va.
Extrait page 24-25 : « Mais oui ! Je m'en souviens. Son velours soyeux est imprimé d'un bleu plus pale, parsemé de perles irisées. En la regardant, je sens d'invisibles fils m'attirer vers elle. Je dois la toucher. Je dois la porter. Je n'ai jamais vu une étoffe aussi belle. La fille retourne l'étiquette. « 340 livres soldé 170 ». Elle s'approche, drape l'écharpe autour de mon cou et je contemple mon reflet dans la glace. Aucun doute. Il me faut cette écharpe. Il me la faut ... »