Titre : | 3096 jours |
Auteurs : | Natascha Kampusch, Auteur ; Heike Gronemeier, Collaborateur ; Corinna Milborn, Collaborateur ; Olivier Mannoni, Traducteur ; Leïla Pellissier, Traducteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Librairie générale française, 2011 |
Collection : | Le Livre de Poche, num. 32229 |
ISBN/ISSN : | 978-2-253-16010-6 |
Format : | 318 p. / 18 cm |
Langues originales: | Allemand |
Résumé : | L'histoire vraie de Natascha Kampusch, enlevée à l'âge de dix ans et retenue captive dans une cave de cinq mètres carrés pendant huit ans. Une épreuve inimaginable traversée avec courage par cette jeune fille. |
Nature du document : | fiction |
Genre : | histoire vraie/témoignage |
Thème de fiction : | enfance |
Exemplaires
Cote | Section | Support | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Avis des lecteurs : 3 avis, ajoutez le vôtre !
(mauvais) 15 (excellent)
Visible par tous
courage émotion violence
Le 14/01/2020
J'ai aimé ce livre car il parle de faits réels, il y a beaucoup d?émotion, de violence que j'ai ressenti quand elle a raconté son histoire.
Je recommande ce livre car il apprend à toute personne qu'il faut être vigilant dans la vie de tous les jours.
Je recommande ce livre car il apprend à toute personne qu'il faut être vigilant dans la vie de tous les jours.
Une histoire touchante
Le 21/02/2014
J'ai lu le livre «Natascha Kampusch 3096 jours», écrit pas Natascha Kampusch elle-même.C'est un roman autobiographique dans lequel elle raconte son épreuve.
Dans un premier temps je trouve que c'est un livre poignant et touchant à la fois. Il raconte l'histoire vraie de Natascha Kampusch. Des éléments nouveaux sont révélés dans ce roman.
Puis, ce livre nous fait découvrir le courage et la force qu'a eu la jeune fille pour endurer cette épreuve. En avançant dans ce roman on prend pitié pour elle et on voudrait l'aider à sortir de ce calvaire car elle est si jeune.
Enfin, je vais citer l'extrait qui m'a le plus marquée. Avant de partir à l'école la mère de Natascha dit à sa fille : «Il ne faut jamais se séparer fâchés. On ne sait pas si on se reverra ! ».
Ce passage m'a vraiment touchée car dans l'histoire nous savons que Natascha Kampusch ne reverra pas sa mère pendant huit années et qu'elles se sont brouillées avant de se quitter. C'est une leçon de vie car ce que dit sa mère est vrai, il ne faut jamais partir fâché avec quelqu'un ; on ne sait pas ce qui peut arriver.
Pour conclure je conseille vraiment de lire ce livre ; il est véritablement bien écrit et on s'attache facilement à Natascha dans l'histoire.
Dans un premier temps je trouve que c'est un livre poignant et touchant à la fois. Il raconte l'histoire vraie de Natascha Kampusch. Des éléments nouveaux sont révélés dans ce roman.
Puis, ce livre nous fait découvrir le courage et la force qu'a eu la jeune fille pour endurer cette épreuve. En avançant dans ce roman on prend pitié pour elle et on voudrait l'aider à sortir de ce calvaire car elle est si jeune.
Enfin, je vais citer l'extrait qui m'a le plus marquée. Avant de partir à l'école la mère de Natascha dit à sa fille : «Il ne faut jamais se séparer fâchés. On ne sait pas si on se reverra ! ».
Ce passage m'a vraiment touchée car dans l'histoire nous savons que Natascha Kampusch ne reverra pas sa mère pendant huit années et qu'elles se sont brouillées avant de se quitter. C'est une leçon de vie car ce que dit sa mère est vrai, il ne faut jamais partir fâché avec quelqu'un ; on ne sait pas ce qui peut arriver.
Pour conclure je conseille vraiment de lire ce livre ; il est véritablement bien écrit et on s'attache facilement à Natascha dans l'histoire.
Le 11/02/2014
Ce livre autobiographique évoque l'enlèvement de la narratrice alors qu'elle n'avait que 10 ans et qu'elle se rendait à l'école.
J'ai apprécié ce livre, car il traite bien des risques pour un enfant quand il part tout seul pour se rendre à l'école.
Premièrement, le livre est très bien écrit. Natasha exprime bien les sentiments qu'elle ressent lorsqu'elle est enlevée par un homme sur un parking. La focalisation interne nous permet de mieux rentrer dans l'histoire de cette jeune femme. En dernier lieu, pendant toutes ces années elle a vécu des jours de torture, de faim et de larmes. En dehors de tous ces sentiments elle n'a jamais lâché espoir qu'elle serait libre. Natasha regrettait de n'avoir pas dit au revoir à sa mère le jour de son enlèvement.
Deuxièmement, elle exprime son mal-être dans le milieu scolaire ainsi que dans le milieu familial, suite au divorce de ses parents quand elle était plus jeune. J'ai apprécié le contexte socioculturel et familial.
Troisièmement, j'ai apprécié qu'il y ait des dialogues dans le livre entre la narratrice et Priklopil. Elle se parlait à elle-même pour se promettre qu' un jour elle sortirait de cet endroit. J'ai eu le sentiment d?être un témoin invisible.
Finalement après 3096 jours de captivité, elle eut assez de force pour partir et être libre. Lors de sa fuite, elle eut peur que Priklopil la suive et la retrouve et qu'il mette sa menace à exécution et en vienne à tuer toutes les personnes à qui elle a parlé.
Conclusion : j'ai apprécié ce livre, car au fur et à mesure de l'histoire on évolue avec le personnage, on ressent tout ce qu'elle a ressenti pendant ses jours de captivité.
J'ai apprécié ce livre, car il traite bien des risques pour un enfant quand il part tout seul pour se rendre à l'école.
Premièrement, le livre est très bien écrit. Natasha exprime bien les sentiments qu'elle ressent lorsqu'elle est enlevée par un homme sur un parking. La focalisation interne nous permet de mieux rentrer dans l'histoire de cette jeune femme. En dernier lieu, pendant toutes ces années elle a vécu des jours de torture, de faim et de larmes. En dehors de tous ces sentiments elle n'a jamais lâché espoir qu'elle serait libre. Natasha regrettait de n'avoir pas dit au revoir à sa mère le jour de son enlèvement.
Deuxièmement, elle exprime son mal-être dans le milieu scolaire ainsi que dans le milieu familial, suite au divorce de ses parents quand elle était plus jeune. J'ai apprécié le contexte socioculturel et familial.
Troisièmement, j'ai apprécié qu'il y ait des dialogues dans le livre entre la narratrice et Priklopil. Elle se parlait à elle-même pour se promettre qu' un jour elle sortirait de cet endroit. J'ai eu le sentiment d?être un témoin invisible.
Finalement après 3096 jours de captivité, elle eut assez de force pour partir et être libre. Lors de sa fuite, elle eut peur que Priklopil la suive et la retrouve et qu'il mette sa menace à exécution et en vienne à tuer toutes les personnes à qui elle a parlé.
Conclusion : j'ai apprécié ce livre, car au fur et à mesure de l'histoire on évolue avec le personnage, on ressent tout ce qu'elle a ressenti pendant ses jours de captivité.